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Tabula rasa

François Grisé et Julie Chateauvert animent cette série de consultations.


Août 2021

Pour la 4e soirée de TABULA RASA le 4 août dernier, nous avons invité Denise Veilleux, féministe lesbienne retraitée et bénévole avec le programme Pour que vieillir soit gai de la fondation Émergence, Vivian Labrie chercheure autonome associée à l’IRIS et membre de l’équipe de recherche ÉRASME ainsi que Claire Bolduc, préfète de la MRC de Témiscamingue. Elles ont principalement abordé l'aspect économique et fiscal du vieillissement. Leurs interventions ont pu apporter un nouvel éclairage sur des enjeux peu mis de l'avant et souvent inconnus du grand public.


Par la suite, afin d'alimenter la discussion, nous vous avons présenté des exemples de projets et initiatives concernant l'habitat et le vieillissement qu'on trouve inspirants.




 

Mai 2021

Lors de la première édition et deuxième édition de TABULA RASA, François et Julie se sont questionnés sur l’habitat au plan intime, communautaire puis sociétal et ont engagé le débat avec un nouveau panel d’invité.e.s.


Le 4 mai dernier dans le cadre de la 3e table ronde de TABULA RASA nous avons de nouveau invité trois personnes à réfléchir avec nous à la question : Et si on faisait table rase des institutions privées et publiques dédiées aux aînés, que pourrions-nous imaginer à la place?


Maria Giguère, François Saillant et Lise Roy ont tous les trois examiné la question sous quatre angles différents - le lien à soi, à notre maison, notre communauté, notre société - et par le prisme de leur expérience professionnelle et leur implication citoyenne.


Nous leur avons demandé plus précisément : au plan des institutions, qu’est-ce qu’on peut changer au niveau de notre quartier et de notre voisinage?


Voici quelques-unes des réponses :

« Il faut recréer le modèle des villages (...) et recréer un écosystème en fonction de neufs éléments: la sécurité, l'habitat, la mobilité, les loisirs, la participation citoyenne, la santé, les services de proximité, les organismes sociaux et la communication. » « Au niveau administratif, il faudrait réduire la grandeur des arrondissements pour que les administrateurs soient plus proches des citoyens et de leurs besoins. » « Il y a deux notions qui sont essentielles pour moi, celle de la proximité et celle de la diversité. » « Le regard qu'on a actuellement sur les personnes âgées et paternaliste, on les voit comme un fardeau. » « Le dialogue ne peut pas être là sans espoir. Pour moi l'espoir a un avenir et il a un devoir aussi. (...) Devenons transformatiologues. Changeons ce qui est là pour pouvoir faire un autre projet de société. »



 

Février 2021

Le 3 février dernier, cette 2e édition de TABULA RASA a permis d’engager le débat avec un nouveau panel d’invité.e.s qui sont directement concerné.e.s par la question initiale: Et si on faisait table rase des institutions privées et publiques dédiées aux aînés, que pourrions-nous imaginer à la place?


Lors de la première édition, François et Julie se sont questionnés sur l’habitat au plan intime, communautaire puis sociétal. Cette fois-ci, ils ont voulu reprendre ces questions qui interrogent les types d’habitats, afin d'approfondir la réflexion. Ils ont invité Madeleine Lauzier, Louise Baillargeon et Jacques Labonté à témoigner de leur expérience professionnelle et personnelle concernant les gestes à poser pour amorcer des changements et les structures à transformer. »


Questions posées :


« Si vous faisiez table rase, à l’échelle du chez soi (de la maison) qu’est ce que vous conserveriez, jetteriez ou imagineriez qui serait important pour qu’on puisse bien vieillir?»


Voici quelques-unes des réponses :


« (Il faut) donner aux gens et trouver le moyens - même aux gens qui ont des déficits cognitifs importants de travailler sur préserver toute l'autonomie décisionnelle qu'ils ont et chercher ce qu'ils veulent. Ils sont capables d'exprimer des volontés. C'est très important et c'est une clé. » « Quand on dit faire table rase c'est de repenser à la conception des services qui sont donnés dans chacunes des types de résidences ou chsld qui sont vraiment pensés de façon unilatérale sur les soins à donner. Les soins, c'est pas juste donner des bains et faire manger du monde » « On pourrait recréer un tissu social dans les habitations pour personnes âgées en intégrant des appartements pour des étudiants et des jeunes familles »

- « Est-ce que vous pensez que les boomers vont faire les choses différemment (en 2035 tous les boomers vont avoir 65 ans et plus) ? »


Oui, parce qu’on va vivre plus vieux.

Oui, parce qu’on est moins fatalistes que la génération d’avant.

On exige une certaine qualité de vie.

On a plus voyagé, on a une connaissance différente du monde.

On voit la démocratie d’une manière différente.

On voit les soins d’une manière différente.



 

Novembre 2020

Le 11 novembre dernier, François et Julie vous ont invité à la première d’une série d’échanges structurés autour de la question : Si on faisait table rase des institutions privées et publiques actuellement dédiées aux aînés, que pourrions-nous imaginer à la place?


Parfois, pour se donner l’espace nécessaire à imaginer les possibles, il faut se permettre de faire table rase. Ne serait-ce que dans nos têtes!


Nous avons donc voulu entendre vos réponses et vos questions, car nous croyons que cet exercice d’imagination collective nous permettra d’infiltrer et de construire la réalité sur d’autres bases.




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